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 ZIGOR 

La déclivité des ombres

Du 24 juin au 23 septembre 2023
Horaires d'ouverture de l'été : du mardi au samedi : 10h – 19h

 Vernissage : vendredi 23 juin à 18h avec la présence exceptionnelle de Zigor
Gratuit, sur réservation au 05.59.80.80.89

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© Zigor

Célèbre pour ses sculptures visibles dans le Sud Ouest, à Biarritz, Anglet, Vitoria et dans de grandes collections publiques et privées en France et à l’étranger, Kepa Akixo, dit Zigor (le fouet, en basque), est un artiste pluridisciplinaire, à la fois sculpteur, peintre, poète et photographe né à Aretxabaleta en Guipuscoa, au Pays basque.

Ses carnets de poésie sont publiés dès 1973. Il parcourt le monde pendant une dizaine d’années comme reporter photographe de presse pour la prestigieuse agence Capa.

En 1983, la rencontre avec le sculpteur Remigio Mendiburu va être déterminante: Zigor décide de se consacrer à la sculpture. Il s’inscrit aujourd’hui dans le sillage des grands sculpteurs basques contemporains.

Il reprendra son Leica dans les années 2010 avec un nouveau parti-pris artistique : éliminer les couleurs, qu’il trouve distrayantes. Il se lance alors à la recherche de l’équilibre entre ombre et lumière.

Passionné de montagne, l’artiste puise son inspiration dans la nature. Elle est présente dans le choix des matières, telles que la pierre, le bois et le bronze. C’est aussi le sujet principal de ses photos, de ses toiles et de ses sculptures. Sa photographie qui révèle des paysages, demeures, objets peuplant son imaginaire, est celle d’un peuple du bord de mer, qui garde la tête dans les nuages.

Zigor vit et travaille à Biarritz. Deux rétrospectives lui ont été consacrées : en 2010 à la Base sous-marine à Bordeaux et en 2018 au Casino de Biarritz.

« Je photographie avec une sensation d’urgence anthropologique parce que le but ultime est aussi de faire un travail de mémoire.
Je sais à quel point demain sera autre. Demain tout aura été bouleversé et je ressens à l’avance le drame du changement.

Dans mes photos, le noir et blanc est sombre et contrasté parce que cette forme dramatique de la narration m’a toujours profondément ému.
J’ai des difficultés à mettre de la couleur sur la couleur existante. Le noir et blanc me permet de dire ce que la couleur cache. La couleur nous permet de reconnaître et le noir et blanc, peut-être, de connaître. » ZIGOR – 2023

Dossier de presse de l'exposition Zigor à Pau :

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